La Corée du Nord demeure la menace nucléaire après l'Iran

L'Iran a été contraint par la communauté internationale de réduire de 3,65% son enrichissement en uranium contre 20 % auparavant après le Marathon diplomatique en 2015.
Après l'Iran, je fais observer et réitérer que la Corée du Nord demeure la prochaine menace nucléaire et géopolitique au regard de l'opiniâtrement du nouveau leader Nord-Coréen Kim Jong-Un; je pense en même temps que son arrogance nécessite une réponse rigoureuse et des sanctions internationales.
Historiquement le conflit inclut la Corée du Sud, le Japon et les États-Unis d'un côté; la Russie et la Chine de l'autre côté.
Un programme nucléaire controversé en vue de l'arme atomique, un programme de missiles balistiques pouvant servir de vecteur à l'arme nucléaire.
Kim Jong-Un est déterminé à défier notamment, les États-Unis et la communauté internationale dans son ensemble en déployant son arsenal nucléaire par des tires de missiles balistiques et ne cesse de s'enrichir en uranium( 2500 et 5000 tonnes selon des estimations) et reste dans cette logique de justifier son droit de détenir l'arme nucléaire et n'hésite plus à pointer les États-Unis comme "ennemi", menace la Corée du sud de se rallier aux États-Unis.
Un exercice permanent de guerre nucléaire.
Le 13 avril 2012: Tir d'une fusée qui emportant un satellite;
Le 12 décembre 2012: Elle réussit de nouveau le lancement d'une fusée, condamné par le Conseil de sécurité;
Le troisième essai de missiles balistiques a lieu le 12 février 2013;
En Janvier 2016, un autre essai utilisant une bombe à hydrogène selon des spécialistes.
La menace nucléaire est grave et il faut mettre un dispositif pour faire barrage à la continuité de la politique Nord-Coréenne sur le nucléaire menée aujourd'hui par Kim Jong-Un.
Or, son arrivé au pouvoir en fin 2011 après le décès de son père avait laissé entrevoir la possibilité d'une amélioration des relations avec l'occident .
Néanmoins, c'est aujourd'hui la continuité avec une arrogance assez rare.
Kim Jong-Un se trouve être dans la continuité de la politique de ses prédécesseurs sur la question car, c'est depuis 1989 qu'elle débute son programme dans la clandestinité.
Nous déduisons qu'il n'y a pas eu rupture mais continuité sur la question du nucléaire et de la course à la bombe atomique avec l’avènement de Kim Jong-Un.