LE REDRESSEMENT DE L'EPSP PAR LE MINISTRE Maker MWANGU

Le secteur de l'enseignement primaire secondaire et professionnel a été booster; des avancées significatives sous le régime Kabila, une réponse appropriée à la désorganisation que paralysait le secteur, formation en baisse, clochardisation de l'enseignent, etc

Nous allons épingler dans les lignes qui suivent, les problèmes généraux du secteur qui demeurent en partie:

1. L'implantation inégale des écoles entre différentes divisions du pays.

Il existe des provinces qui ont plus d'écoles par rapport à d'autres, les disparités se poursuivent au niveau des districts, territoires, secteurs et chefferies;

2. On organise les mêmes types d'études à travers le pays(pédagogie générale, littéraire mais peu on retrouve des écoles techniques et professionnelles);

3. Il y a absence de la main d'œuvre qualifiée; le problème des qualifications des enseignants ne se pose pas au niveau primaire avec la multitude des options pédagogiques dans le pays.

Par contre, pas assez des instituts supérieurs pédagogiques censés former les formateurs des humanités;

4. Les infrastructures de l'enseignement primaire et secondaire sont généralement vétustes;

5. Un retard se posait dans la publication des résultats des examens d'État et ses conséquences qui se répercutaient sur l'admission à l'enseignement supérieur et universitaire,ESU.

Depuis qu'il a prit la charge du ministère en 2007, le Ministre Mwangu Famba a œuvré pour le redressement du secteur:

1. La mise en œuvre progressive de la disposition constitutionnelle qui stipule la gratuité et l'obligation de l'enseignement primaire en vue de permettre la grande scolarisation des jeunes;

2. La construction des 1.000 écoles pour palier au problème de l'inégal implantation des écoles, de la surpopulation par rapport à la capacité d'accueille et mettre fin aux vacations.

De la vétustée des infrastructures scolaires;

3. Deux semaines suffisent pour publier ce jour les résultats des examens d'État, un record jamais réalisé depuis des décennies.

Certes, des problèmes liés au surpeuplement et à l'inefficacité de la main d'œuvre demeurent en partie dans certains coins et recoins du pays mais nous pensons que tout doit s'inscrire dans un processus.

En perspectives, investir dans les domaines que nous maitrisons à peine(les numériques et les télécommunications).

Revaloriser l'enseignement professionnel et technique que nous avons considéré comme la préfiguration du phénomène d'industrialisation, porteur de croissance et de l'emploi.